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Cinq sur cinq
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Claude-Inga Barbey

Le portrait de Madame Mélo
et autres nouvelles


La tonalité des portraits que peint Claude-Inga Barbey est grise. Parfois d'une nuance tendre comme une fourrure de cochon d'Inde mais souvent plombée, alourdie du poids d'un quotidien sans grâce. (...) La chroniqueuse a le sens du détail absurde -, souvent d'une tristesse poignante qui se dessine à petits traits. On les voudrait parfois plus précis dans les mots. Mais l'atmosphère générale est terriblement convaincante.
Isabelle Rüf (Le Temps, 31 décembre 2004)

(...) Dans une veine qui va s'élargissant, non loin des deux derniers romans doux-acides d'une Anna Gavalda, dont elle partage le sens de l'empathie et l'art de capter tous les empêtrements et les frustrations, Claude-Inga Barbey parvient (...) à dépasser le stade du croquis pour esquisser de vraies histoires avec des personnages de plus en plus diversifiés, dans une atmosphère «plombée» qui reste caractéristique de sa manière. Claude-Inga Barbey en impose par une empathie de véritable romancière, avant de revenir à une série d'Ephémérides plus proches de la chronique acidulée.
Jean-Louis Küffer (24 Heures, 22 décembre 2004)

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