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Romain Buffat

Schumacher


Romain Buffat laisse à ses lecteurs une nostalgie irrépressible, mais le désir d’aimer quand même ces gens médiocres et minuscules qui traversent ce court roman, personnages dont les sourires contraints dévoilent autant de courage que de lâchetés, autant d’héroïsme que de médiocrité ; quand on quitte ces personnages de tragédie grecque de banlieue, dérisoires et magnifiques, on en sait un peu plus sur notre humanité.
Jury (Prix Terra Nova de la Fondation Schiller, mai 2019)

Inspirée d’une histoire vraie liée à celle de l’auteur, la narration reste pourtant un exercice d’hypothèses pour le romancier (…) Un roman qui séduit également par son intensité narrative qui perdure jusqu’à la fin de la lecture, et en particulier lors de la révélation de l’identité du narrateur.
Kévin Ramirez (La Région Nord vaudois, 7 décembre 2018)

C'est une histoire de rêve américain, une histoire simple et bien menée, bien écrite, par Romain Buffat, dont c'est le premier livre. De ce mince roman, intitulé Schumacher, il ne faut pas déflorer la trame, subtile, ni trop en dire, par crainte de jouer les spoiler.
Jean-Michel Olivier (blog TdG, 1er décembre 2018)

Ça sonne très juste (…) Le livre met l’eau à la bouche. C’est bien amené, tout en douceur, très élégant. Un roman très réussi.
Culture au point (RTS Espace 2, 9 novembre 2018)

Le contenu se livre en clichés glacials, comme sur le papier brillant d’un roman-photo des années 1950. Le mode de narration de Romain Buffat (jeune écrivain vaudois) nous déstabilise sans que nous comprenions pourquoi.
Vérène Gremaud (La Gruyère, 8 novembre 2018)

À partir de là, Romain Buffat prend le contrôle. Bien habilement. Une histoire banale? Certainement pas. Ici tout est amené avec finesse et subtilité. Un premier roman remarquablement bien ficelé.
Marlène Métrailler (RTS Versus-lire, 6 novembre 2019)

Schumacher est beaucoup plus qu’un feuilleton à deux balles du genre du magazine Nous deux qui faisait vibrer les petits coeurs de nos grandes soeurs: c’est un roman de pure sensibilité et d’observation surfine qui rappelle un peu l’empathie filtrant dans les nouvelles d’une Alice Munro, avec ce même art discret qu’on trouve chez un Raymond Carver ou chez un John Cheever – trois orfèvres de la nouvelle américaine dans le sillage doux acide des récits du Russe Tchékhov. Cependant je m’en voudrais d’écraser le jeune auteur sous de telles comparaisons: c’est juste pour le situer dans une famille sensible dont la tendresse compense l’acuité du regard…
Jean-Louis Kuffer (Bon pour la tête, 1er novembre 2018)

Se faisant metteur en scène, il convoque ses personnages et leur imagine de petits faits et gestes qui aspirent au vraisemblable – «Oui, c’est possible, tout cela est possible.» Car sa fiction, on le comprend au fil des pages, doit surtout combler les lacunes d’une histoire américaine qui est celle, bien réelle, de sa propre famille. Fort habile.
Thierry Raboud (La Liberté, 27 octobre 2018)

Entremêlant les fils de la mémoire et de la fiction, Romain Buffat signe un récit sensible qui plonge dans l’histoire pour réécrire la légende familiale (…) L’écriture opère le miracle de redonner vie à un aïeul disparu tout en le reléguant pour de bon dans le passé, dans un mouvement qui se révèle à la fois entreprise de réconciliation et sépulture de papier. Où l’absence, finalement fondatrice, marque une jolie entrée en littérature.
Anne Pitteloud (Le Courrier, 26 octobre 2018)

Romain Buffat signe un premier roman poignant et parfaitement maîtrisé (…) On ne touche jamais si bien la réalité que par le détour de la fiction. Pour son premier roman, l’Yverdonnois Romain Buffat, né en 1989, remonte aux fondements de l’histoire familiale, construisant ce que l’on imagine être les belles fondations d’une œuvre qui pourra monter très haut.
Julien Burri (Le Temps, 13 octobre 2018)

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