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Céline Cerny

Les enfants seuls


Partout l'émotion affleure, mais sans s'imposer au lecteur. Pas de tragique gras en pleine face, mais rien n'est caché ni épargné. Enfin, une remarquable cohérence de style dans la restitution de ces paroles revenues de loin: «Quand je serai grande, je n'aurai plus de parents.»
Jérôme Meizoz (viceversa littérature.ch, 7 septembre 2015)

Céline Cerny, qui publie son premier ouvrage à l'enseigne des belles Editions d'Autre Part, a préféré la fiction à l'autobiographie, prenant la plume pour inventer l'enfance. (...) Elle y teinte ses mots délicats d'une ironie triste et légère, comme pour mieux saisir ces vingt-deux voix juvéniles en autant de courtes nouvelles.
T.R. (La Liberté, 25 juillet 2015)

Le premier livre de Céline Cerny déborde de tendresse et de poésie. (...) Vous l'aurez saisi. Mystères, joies, tristesses et rêves cohabitent à chaque page de ce précieux petit livre.
Gilberte Favre (Les Blogs, Itinéraires, 6 juillet 2015)

Céline Cerny cisèle des récits denses, dont la force tient beaucoup à la concision et à l’apparente simplicité. Les faits sont narrés sans commentaire ni pathos au fil de proses évocatrices, sensibles, drôles parfois, attachantes toujours.
Anne Pitteloud (Le Courrier, 4 juillet 2015)

Et c’est une impression diffuse d’étrangeté au monde qui parcourt ces textes et qui signe leur réussite. Que ce soit dans le froid du carrelage d’une cuisine où les petits pieds se posent ou dans le souffle chaud d’un sèche-cheveux brandi par une mère agacée, la solitude des enfants face au monde des adultes, face au monde tout court, se fait entendre comme une mélodie entêtante. Une mélodie que le lecteur reconnaît, à peine assourdie par l’épaisseur du temps.
Lisbeth Koutchoumoff (Le Temps, 4 juillet 2015)

Céline Cerny fait parler les enfants. Mais on n'est pas dans un paradis vert et rose. Les enfants seuls rappelle plutôt que les bambins sont des radars sensibles, intelligents, fragiles et implacables. Céline Cerny s'attache aux moments forts où des révélations leur adviennent, quelquefois tendres, souvent brutales, parfois cruelles, qui produisent des ébranlements. De ceux que nous avons tous vécus, que ce livre ravive.
Alain Bagnoud (Blogres, le blog d'écrivains, 12 juin 2015)

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