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Blaise Hofmann

Monde animal


Ce petit ouvrage, joliment illustré, est une véritable réussite, un livre intelligent qui nous parle de la Suisse romande sous un angle original, qui évoque l’état de notre monde sans prêcher ni moraliser.
Julien Sansonnens (Paris Match, 2 février 2017)

Ces petits tableaux, finement illustrés par Pierre Baumgart, montrent que Blaise Hofmann n’a pas usurpé le prix Nicolas Bouvier, reçu en 2008 pour Estive, récit d’une saison à l’alpage.
Isabelle Rüf (Le Phare, janvier 2017)

Une fois de plus, Blaise Hofmann se distingue par la pertinence de son regard, la justesse de sa plume. Pas question d’extase béate ni de leçons de morale, mais une honnêteté sans faille: il ne cache pas, par exemple, sa décep­tion à l’issue d’une visite en compagnie d’ornithologues, sur le Léman («J’ai détesté cette excursion»). A la fois hommage à l’œuvre de Pierre Baumgart (dont sont reproduites une vingtaine d’illustrations) et à la nature de nos contrées, Monde animal invite à aiguiser notre regard, comme un retour à l’essentiel.
Éric Bulliard (La Gruyère, 22 décembre 2016)

Ce petit ouvrage, joliment illustré, est une véritable réussite, un livre intelligent qui nous parle de la Suisse romande sous un angle original, qui évoque l’état de notre monde sans prêcher ni moraliser. L’auteur nous donne à voir du pays, c’est un récit très suisse aux genres pluriels, ni tout à fait témoignage, ni tout à fait manifeste. Véritable éloge du local, Monde animal nous invite à ouvrir les yeux: c’est déjà beaucoup.
Julien Sansonnens (critique ici, 29 novembre 2016)

Dans une balade sans errance, entre observations et impressions, discussions amusées et regards croisés sur la faune qui nous entoure, Blaise Hofmann, écrivain, et Pierre Baumgart, graveur animalier, nous racontent en lutinant les milans noirs, cygnes, corneilles, martins-pêcheurs, silures, mouettes, gypaètes, grands tétras, blaireaux et chauves-souris.
Catherine Fattebert (Versus, Espace 2, 27 octobre 2016)

C’est d’abord un bel objet, qu’on a plaisir à prendre en main. Puis c’est un joli voyage dans nos contrées que propose l’écrivain d’ici Blaise Hofmann, comme si l’on était un oiseau posé sur son épaule au gré de ses périples sur les crêtes du Jura (…) Bref, un livre comme un bol d’air salutaire.
Cédric Jotterand (Journal de Morges, 24 octobre 2016)

Avec Pierre Baumgart, Blaise Hofmann apprendra à regarder, à écrire ce qu’il sent. Il veut se mettre à la place de la fourmi, ralentir la course effrénée du monde, voir se déplier cette autre dimension secrète qu’il découvre humble et fasciné. (…) Une consécration de l’instant, résultat patient d’années d’ébauches et d’affûts. Ce dialogue entre textes et dessin fait toute la magie de Monde animal, où l’innocence retrouvée du regard va de pair avec sa lucidité.
Anne Pitteloud (Le Courrier, 7 octobre 2016)

À l’ère des images instantanées, Pierre Baumgart pratique un art du temps long qui réclame patience et endurance. Ses croquis et ses gravures se glissent dans le récit de Blaise Hofmann. Textes et images forment un duo bien accordé qui ne manque pas de grâce.
Michel Audétat (Le Matin Dimanche, 2 octobre 2016)

L'ambiguïté de notre rapport aux animaux est là. Dans cette occupation du territoire qui détruit leurs lieux de vie, et en même temps dans cet amour contradictoire que nous leur portons, qui nous incite à organiser un tourisme qui dérange leur mode de vie, à travers des chasses photographiques, des excursions, etc. Le livre est illustré avec les magnifiques gravures de Pierre Baumgart et écrit avec cette économie de moyens, cette justesse qui sont la marque Hofmann. Il est très réussi.
Alain Bagnoud (Blogres, 23 septembre 2016)

Un très beau livre. L'écrivain-voyageur raconte avec le même plaisir les horizons lointains ou cette démarche de proximité, en Suisse, à l'affût des animaux sauvages. Un terrain propice à la patience, au questionnement et à toutes sortes d'observations.
Martine Galland (Détours RTS1, 21 septembre 2016, écouter ici l’entretien avec Blaise Hofmann)

Quant à Blaise Hofmann, essayant de raconter son bout de haute route jurassienne en revenant parfois sur des épisodes passés (moments forts ou rencontres saillantes), il se «recentre» surtout sur le verbe dont il polit le cristal comme jamais dans ses textes précédents, avec autant de bonheur que d'ironique justesse.
Jean-Louis Kuffer (Pour tout dire, 10 septembre 2016)

Ce passage, à la tonalité franciscaine, comme l'ensemble du livre, ne peut que toucher : il invite à aimer et à respecter les animaux et c'est très bien. Car celui qui les aime et les respecte aimera et respectera certainement davantage ses semblables que celui qui les déteste et les maltraite. Mais cela veut-il dire pour autant qu'il faille préférer vie sauvage à civilisation?
Francis Richard (Le blog de Francis Richard, 8 septembre 2016)

Hofmann n’est pas à la recherche d’exotisme touristique. Il aime les rencontres, les paysages, les autres réalités qu’il observe avec attention, avant de laisser courir sa plume avec émotion. Éloigné d’une démarche politiquement correcte, il ne lésine pas sur l’ironie, et si son texte dérange, c’est peut-être qu’il touche là où ça fait mal. L’écriture est intense, précise, sans fioritures, le ton direct (…) Un hommage émouvant à la nature, aux animaux, et à la chaîne du Jura, qu’il arpente en début de récit.
Bernadette Richard (Le Quotidien Jurassien, 1er septembre 2016)

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