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Monsieur vitesses
C'est court et, comme le titre l'indique, ça va vite: l'auteur, certes jeune, relate dans ce premier roman une jeunesse d'aujourd'hui, qui considère l'Europe comme un terrain de jeu mais n'oublie pas ses racines. On trouvera donc ici des noms de lieux typiquement fribourgeois, ainsi que des helvétismes parfaitement assumés.
Daniel Fattore (La Liberté, 10 janvier 2015)
Le lecteur est ici confronté au monde qui change, à ceux qui s’en vont, à l’histoire d’un jeune qui grandit. Traverse la «haute adolescence» un peu comme si c’était un pays, puis se trouve une place dans la vie. Une suite d’événements et d’étapes dans lesquelles chacun se reconnaîtra.
Marc-Olivier Parlatano (Le Courrier, 8 novembre 2014)
Il y a de nombreuses trouvailles, belles et profondes, qui jaillissent de cette écriture comme autant d'étincelles qui «jamais ne s'éteignent, et jamais ne s'allument.» Et ces trouvailles forment un tableau (un portrait en mouvement) tout en nuances et en anfractuosités, en petits gouffres et en puits de lumière (…) davantage qu'un exercice de style, ou que le résultat d'un atelier d'écriture: une vraie réussite.
Jean-Michel Olivier (blog TDG, 17 octobre 2014)
Pour son premier livre, paru aux éditions d'autre part, Maxime Maillard nous propose un singulier et intéressant petit livre. On y suit les fragments d'une vie particulière. Le recueil explore les étrangetés du quotidien et quelques formes d'écriture. Ses courts chapitres, composés d'épisodes brefs, sont ponctués par des dialogues irrésistibles.
Alain Bagnoud (http://bagnoud.blogg.org/, 16 octobre 2014)
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