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Frédéric Mairy

Bref éloge de la fin
proses


Frédéric Mairy a le sens de la pointe, du double point de vue de la perception et de l'expression: le sens du détail révélateur, et l'on pense à la fois à Philippe Delerm, en plus ténu, et à Nicolas Bouvier, qu'il cite précisément à propos des «Souvenirs, souvenirs» qui nous rappellent à la fois le Johnny de nos quatorze ans et cette solennelle sentence de Michaux qu'il cite: «La mission de l'homme sur terre est de se souvenir.»
Jean-Louis Kuffer ( http://carnetsdejlk.hautetfort.com/ du 14 avril 2011)

Ce qui est assez drôle dans cet essai, sur cette thématique-là, c'est que vous pouvez l'ouvrir au hasard, le commencer par le début ou par la fin, tout est possible et compréhensible. Ce court essai est donc quelque part sans fin.
Nathalie Romanens (La Librairie francophone du 26 mars 2011)

Tchekhov, Michon, Bouvier... Des références littéraires, cinématographiques et même footballistiques se glissent entre les lignes de ce Bref éloge, mais l'érudition n'anesthésie ni la sensibilité ni le ton enjoué du Neuchâtelois.
Dominique Bosshard (L'Express et L'Impartial du 12 mars 2011)

Tout a une fin, même les haricots. Le Neuchâtelois Frédéric Mairy entreprend de recenser ces dernières sous forme d'abécédaire. Attention! Il s'agit là d'une entreprise hautement culturelle.
Etienne Dumont (La Tribune de Genève du 5 mars 2011)

En tout trente-deux auteurs pour trente-quatre petits textes délectables, classés dans un ordre alphabétique qui est bien entendu un leurre. Car l'unité profonde du livre ne tient pas seulement à sa thématique. Sa composition réfléchie est ordonnée, de la première phrase donnée plus haut, à la dernière, que je ne peux m'empêcher de citer aussi, tant elle fait une belle conclusion: «Qu'est-ce qu'écrire, si ce n'est remplir de signes noirs un voile blanc tendu sur le néant?»
Alain Bagnoud (Blogres du 4 mars 2011)

Et des brasseurs, Mairy s'en va chatouiller Gary Lineker en prince, la Bretagne et le Haïku, Sophocle au pied de l'échafaud, déclamant «que dans nos contrées les crânes se vident plus qu'ils ne tombent, on s'éteint à petit feu, avachi devant son écran de télévision...».
Nonante pages qui trop tôt se terminent de la sorte, presque en forme d'aveu: «Qu'est-ce qu'écrire, si ce n'est remplir de signes noirs un voile blanc tendu sur le néant»? Bien plus, serait-on tenté de répondre. Certainement bien plus cher Mairy, qui façonnez si bien vos écrits...
A lire sans retenue, un peu partout.

Thierry Clémence (tsr.blogs.com/neuchatel, 24 février 2011)

Frédéric Mairy déroule pour nous un tapis rouge, celui des fins dernières. Pas seulement le signe annonciateur de la mort définitive, mais aussi cette boucle qui clôt une journée, concrétise la conclusion d'un spectacle ou marque l'achèvement d'une réflexion (...) Des mots simples dont on éprouve la proximité pour dire «un monde qui souffre sous un manteau de fleurs».
Claude Amstutz (blog lasciereveuse.hautetfort.com, 21 février 2011)

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