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Pierre-André Milhit

L'inventaire des lunes
poèmes


De fines observations des gens qui passent, des scènes du quotidien, le tout sublimé par la lumière particulière de la lune, entre autres.
Jacques Sterchi (La Liberté, 17 janvier 2011)

Comme on est en pays romand, mais sans estampille cantonale pour autant, la poésie de Pierre-André Milhit rappelle parfois celle du Valais de bois de Maurice Chappaz tournant au formica, mais aussi les ballades ou les foucades d'un Alexandre Voisard en son Jura libertaire. On voit très bien, ainsi, ses renards à l'ensauvagement de plus en plus menacé, se faufilant entre plants de vignes et zones industrielles, rêvant peut-être d'une liberté à l'aube et se cassant les dents sur des déchets nucléaires.
Jean-Louis Kuffer (Le Passe-Muraille, novembre 2010)

Rythmés par des anaphores, les poèmes évoquent la nature, les confins des villes, la montagne, la plaine. On y retrouve un narrateur dans la nuit, qui consigne visions, scènes et images, des personnages de passage, un fou, un sage, quelques renardes et renards, d'autres animaux... Le résultat est varié, évocateur, placé entre la verticalité du souvenir et l'horizontalité du contemporain. Plein de surprises, d'éclats de vie, d'images fortes et de jeux d'échos. Un beau recueil, tendre et vigoureux.
Alain Bagnoud (Blogres, 24 septembre 2010)

Sa poésie n'est ni parnassienne ni éthérée. «J'ai besoin d'un peu de sang, de tripes, de vécu des gens.» Chez lui, pas de mignonne invitée à aller voir si la rose... Pas de message à transmettre, pas de rimes mais du rythme, le plaisir des mots et de leur couleur, le goût de juxtaposer des idées qui n'ont apparemment rien à faire ensemble, «parce que la vie n'est pas linéaire». Ecrire comme chanterait Souchon: lancer des balles pour que quelqu'un les attrape.
Manuela Giroud (Le Nouvelliste, 6 septembre 2010)

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