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Antoinette Rychner

Peu importe où nous sommes


Antoinette Rychner nous propose un témoignage sur la maladie de son fils aîné, Aloys, atteint par une leucémie qui l’a frappé de plein fouet en 2018. L’autrice nous raconte la découverte de la maladie, mais aussi l’articulation des journées autour des soins. […] Ce témoignage est bouleversant. Par ses propos, mais également sa forme – cette lettre dédiée au fils cadet.
Cédrine Tille (La Pépinière, jeudi 10 septembre 2020)

[…] Première introspection autobiographique de l’autrice, ce récit viscéral est pourtant loin de faire coquille vide. Bien au contraire, cette parenthèse de vie est une véritable perle littéraire, qui après nous avoir fait entrevoir le pire, dévoile l’entraide et l’espoir d’une vie meilleure.
Caroline Gaillard (blog.unifr.ch, lundi 15 juin 2020)

Peu importe où nous sommes raconte l’odyssée d’une famille confrontée à la maladie, une leucémie contractée par Aloys, un garçon de 5 ans. La mère, le père, les amis s’organisent tant bien que mal pour que le quotidien résiste courageusement et amoureusement aux crises de découragement, et parfois de résignation. […] Le livre d’Antoinette Rychner nous a émus plus d’une fois.
Christophe Gaillard (La cinquième saison, n°11 - été 2020)

[…] À la naissance de son troisième enfant, l’auteure apprend que l’aîné de ses garçons est atteint de leucémie d’où l’écriture de Peu importe où nous sommes. Un récit pudique, saisissant, dans lequel l’auteure dit au nouveau-né toute sa culpabilité de ne pas avoir pu lui donner les soins et l’attention qu’il méritait. Écrivaine polymorphe, Antoinette Rychner surprend, bluffe autant par son cran, son punch que par sa créativité singulière, éclatante.
Dominique Aussenac (Le Matricule des Anges, n° 211 - mars 2020)

Peu importe où nous sommes d’Antoinette Rychner retrace dans un ouvrage poignant mais jamais larmoyant une vie de six mois en apnée, dès l’annonce de la leucémie rare de son enfant. Viennent d’abord l’angoisse et la sidération après le diagnostic, l’enfant subira six chimiothérapies à un rythme soutenu. Et enfin, la rémission, suivie du retour à l’école. […] Beaucoup de chance, aussi, d’avoir pu rester en famille malgré les contingences de la vie qui continue. Car finalement, «peu importe où nous sommes», l’important réside dans le lien.
Caroline Rieder (24 heures, samedi 15 février 2020 et Tribune de Genève, mardi 25 février 2020)

Peu importe où nous sommes est le titre du récit que la Neuchâteloise Antoinette Rychner consacre à six mois d’une vie bouleversée par la leucémie de l’un de ses enfants. […] Elle écrit avec simplicité, trouvant les mots justes, précis, pour évoquer le désarroi des parents confrontés à la très grave maladie d’un rejeton. Une épreuve à laquelle la famille et les amis ont participé par leur présence, leur aide. Et comme le dit l’auteure: «L’écriture est notre alliée dans toutes sortes de situations.»
Bernadette Richard (Le Quotidien Jurassien, jeudi 13 février 2020)

Une force de la nature, la Neuchâteloise Antoinette Rychner. Rien qu’en 2019, elle signe une fresque théâtrale et un roman, alors qu’on apprend dans un troisième ouvrage, Peu importe où nous sommes, qu’elle traverse la même année l’une de ces épreuves qui pétrifieraient n’importe qui: la leucémie de son fils aîné. Sous une forme chronologique qui rappelle le journal intime, l’auteure s’adresse à son bébé, le benjamin de la famille. […] Si le «il» malade occupe l’attention des personnages, le «tu» du nourrisson et le «je» maternel obnubilent le lecteur. Ce parti pris amplifie le choc, que la guérison apaise.
Katia Berger (Tribune de Genève, samedi 11 janvier 2020)

Dans ce récit intimiste, l’écrivaine Antoinette Rychner livre, sans fards, le quotidien de sa famille, bouleversé par le diagnostic de la leucémie d’Aloys, le fils aîné, âgé de cinq ans.
Ami Lou Parsons (Viceversa littérature, 5 janvier 2020)

Et puis il y a ce livre «qu’elle se serait bien passée d’écrire». Encore plus de vivre. Peu importe où nous sommes raconte la leucémie de son fils aîné Aloys. […] Le lecteur est embarqué avec la petite famille lors des allers-retours à l’hôpital, on sent la peur, l’impuissance, mais aussi la solidarité, les moments de joie, les sourires de son petit dernier, Benjamin, qu’elle allaitait encore.
Tamara Bongard (La Liberté, samedi 4 janvier 2020)

Quelques 150 pages qu’on lit ventre noué, cœur serré, jusqu’à ce que résonne le mot «rémission». Pour éviter tout pathos, l’auteure s’adresse à son nouveau-né, héros vagissant d’un récit au ton vibrant d’amour, d’humour et de talent littéraire.
Catherine Favre (Arcinfo, 11 décembre 2019)

Pourtant, c’est l’Antoinette Rychner plus intimiste que nous préférons, peut-être parce qu’elle s’y révèle, paradoxalement, plus universelle. Celle d’un troisième livre, qui n’était pas prévu, et qui s’est glissé entre les deux autres. Peu importe où nous sommes, aux Editions d’Autre part. Là aussi, il est question de cataclysme et d’entraide.
Julien Burri (Le Temps, 16 novembre 2019)

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