Dans Plus au Nord, le Sud, petites proses autour de la
perte, se déploie une très grande force de suggestion. Monique Laederach(La Liberté, 17 octobre 1998)
Claude Darbellay dresse de singuliers décors imaginaires, modelés par le
rêve, l'angoisse et la lancinante présence d'un ailleurs. Marion Graf(Le Temps, 5 décembre 1998)
Claude Darbellay a construit une oeuvre dont on peut mesurer ici la
cohérence (...) qui situe l'individu dans un monde opaque, insaisissable où
se dissimule, sous l'apparent consensus social, une répression sournoise
dont le plus horrible est qu'elle semble «librement» consentie. Pascal Antonietti(L'Express, 12 septembre 1998)