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Cinq sur cinq
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Guillaume Gagnière
Les toupies d’Indigo Street
Gagnière s’offre une quête existentielle tout en retenue, heureusement dénuée de la moindre pesanteur. On sourit au fil des pages et des situations cocasses. […] Les ambiances sont amenées par touches, presque entre les lignes: on a particulièrement aimé chez le Genevois cette manière de ne pas surjouer l’aventure, de ne pas romantiser à outrance l’expérience. Julien Sansonnens (La cinquième saison, n° 12 – 25 août 2020) Placé sous le signe de Nicolas Bouvier, le premier ouvrage du Genevois Guillaume Gagnière est le récit d’un an de voyage. Il a l’impressionnisme apaisant et la saveur des petits riens qui demeurent. […] Son romantisme n’est pas chimérique, mais agréablement décoloré. Ses mots aiment la finesse de l’adagio, pas la nervosité du staccato. De jolies phrases, des images, naissent au détour d’une ligne. Poésie éphémère. Élans languides. Petits bonheurs… Thibaut Kaeser (L’Écho magazine, jeudi 1er octobre 2020) Guillaume Gagnière, comme Bouvier dont il (pour)suit l’évocation, a choisi de prendre la route. Il livre la réalité de son expérience, faite de rencontres où on ne se parle pas, de chemins qui se mêlent avant de se séparer. Il y a de la beauté, dans Les toupies d’Indigo Street. […] Magali Bossi (La Pépinière, jeudi 27 août 2020) Souhaitons que Guillaume Gagnière ne reste pas l’homme d’un seul livre, sa plume est prometteuse. À 30 ans, il publie Les toupies d’Indigo Street, un recueil d’impressions de voyage très réussi. Des impressions sur le vif, lancées avec un vrai talent de représentation – nature, gens, effort, souffrance – sans fioritures inutiles. […] Cent dix précieuses pages, contenant les éclats de quatorze mois en Asie du Sud-Est. Benjamin Chaix (Tribune de Genève, mardi 11 août 2020) Inspiré par l’auteur de L’Usage du monde, le Genevois Guillaume Gagnière a entrepris un long périple en Asie. Un récit émaillé d’étonnements et placé sous le signe d’une couleur: le blanc. […] Suivant les traces de sa propre musique émondée et sa douce temporalité, ce livre initiatique se termine sur un joli fou rire. Jean-François Schwab (Le Temps, samedi 27 juin 2020) À trente ans pile, sur les traces de Nicolas Bouvier auquel il rend un hommage explicite, Guillaume Gagnière signe son premier livre aux touches fines et justes, intitulé Les toupies d’Indigo Street et retraçant un périple à valeur d’initiation parfois rude, entre Ceylan et l’île japonaise de Shikoku aux 88 temples. De quoi se libérer un instant du poids du monde… Jean-Louis Kuffer (Bon pour la tête, vendredi 12 juin 2020) Premier roman de l’écrivain genevois Guillaume Gagnière, Les toupies d’Indigo Street offre un récit léger et apaisant sur les traces de Nicolas Bouvier. Une petite virée asiatique marquée, notamment, par un intrigant pèlerinage au pays du Soleil Levant. Comme pour mieux se (re)trouver. Ivan Garcia (Le Regard Libre, mardi 19 mai 2020) L'écrivain genevois Guillaume Gagnière signe Les toupies d'Indigo Street, un premier texte paru pendant le confinement. On y suit l'auteur pendant une année de pérégrinations solitaires, de l'Indonésie au Japon en passant par le Sri Lanka où l'on croise l'ombre de Nicolas Bouvier. […] L'art de réveiller les sensations, de dévoiler l'intime avec une pudeur infinie. Les odeurs, la moiteur et, primordiales, les saveurs qui caractérisent un pays. Tout y est. Marlène Métrailler (RTS-Vertigo, 28 avril 2020 / RTS-Culture, 13 mai 2020) C’est un double pèlerinage que raconte Guillaume Gagnière dans Les toupies d’Indigo Street, suite de fragments d’un voyage sur les traces sri lankaises du maître Nicolas Bouvier, et au fil des quatre-vingt-huit temples de l’île de Shikoku. […] Petits gestes, micro-observations, fines touches impressionnistes font le charme de ce premier récit de voyage. De l’idéalisation romantique de ses bobos à la lassitude du déplacement, il collecte des «petits bonheurs» et trace, à sa manière, sa voie d’ascèse. Maxime Maillard (Le Courrier, vendredi 8 mai 2020) Le voyage, souvent, déploie le verbe. En Suisse romande, c’est en se dépaysant que beaucoup de jeunes sont revenus écrivains, en entrant en littérature par le récit de leurs aventures. […] L’auteur, né en 1990, a pris son bâton de pèlerin pour arpenter les 1200 km qui relient les temples de l’île japonaise de Shikoku. Son journal acc ueille en fragments la somme des petits riens, cloques et illuminations, rencontres fugaces et débris d’éternité. Une errance colorée de furtive poésie et d’élans prosaïques, avec cette révélation: «Il me reste encore tout mon âge d’homme à écrire.» Souhaitons qu’il le fasse. Thierry Raboud (La Liberté, samedi 25 avril 2020) > retour |
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