Accueillir l’inouï, le laisser briller à la fenêtre. Ne plus craindre le
brouillon, l’improvisation, tout ce qui laisse dans l’éphémère une marque
jeune comme l’ongle d’un amant dans la pulpe d’un index bientôt
caressant.
À l’origine de ce texte, un long poème de Henri Michaux, La
ralentie. Une lecture qui féconde un autre chant, celui d’une
auteure à la sensibilité singulière et au talent confirmé.